Il y a des amis qu'on ne voit pas pendant des années et qu'on retrouve comme si l'on s'était quittés la veille. Avec le plaisir ajouté de découvrir ce dont ils se sont enrichis.
Il n'en va pas autrement de certaines proximités virtuelles.
C'est en recherchant un article publié il y a plus de cinq ans sur mon blog et en y lisant un commentaire de Tartie que j'ai, par son lien, repris le chemin du sien.
Je parle de celui où elle fait vivre un petit monde en pâte à modeler plus franchouillard et vrai que nature, et qu'elle avait longuement déserté pour les meilleures raisons qui soient.
Vous les découvrirez vous-mêmes en suivant le lien qui mène à son univers parallèle sur blogspot.
Tartie ou La Pâtologie de la France Profonde.
Son entrée à la Galerie Déborah Chock (20 Place des Vosges, 75004 PARIS) m'aura donné en outre le plaisir de mettre un visage et un nom sur un avatar dont la blondeur m'avait toujours paru suspecte.
¤
Tartie, l'anti-Barbie, je trouve la définition tellement juste que je l'ai empruntée à Jacques Dor, à qui Déborah Chock a confié les notices présentant les artistes permanents de sa belle galerie.