Fin de ma Journée Internationale des Femmes. Sans doute jugera-t-on à juste titre qu'elle aurait dû durer davantage, mais voilà ! Force est maintenant de constater que les commentateurs ont fini hier, bien malgré moi, par s'éloigner considérablement du sérieux de la question. Passons donc aujourd'hui sans regret excessif à tout autre chose.
Je pense que vous l'avez compris, si j'ai assez peu d'estime pour l'espèce humaine dans sa globalité, je suis capable de certaines tendresses pour quelques-uns de ses représentants. D'ailleurs, assez curieusement, plutôt pour quelques-unes.
Comment Sophie en est-elle venue à vouloir me faire connaître ce qui va suivre ? C'était, je crois me souvenir, à la suite du décès de Christian Bobin. J'en ai été profondément touché et je m'étais promis (non sans lui en avoir demandé la permission) d'en donner un écho au profit de celles et ceux qui - comme c'était mon cas - ne connaîtraient pas Roger Dautais...
Je ne peux pas faire mieux qu'insister à mon tour : attardez-vous sur LE CHEMIN DES GRANDS JARDINS de Roger Dautais. Saisi d'entrée par la "Flottaison d'été". Sensibilité et simplicité. Un art humble et fort duquel l'humanité sort grandie.