Je me rends compte que je n'ai pas raté une seule fête des pères depuis la création de ce blog...
C'est bien dommage que mon pôpa ne soit plus là. Je l'aurais fait profiter de cet élégant bonnet-barbe dont je n'avais pas trouvé l'usage cet hiver quand ma douce Cécile me l'a charitablement adressé (elle a pour moi, de temps à autre, de ces prévenances délicates).
Ajoutes-y un tuba et un masque, il aurait eu belle allure à la plage !
Je ne sais pas toi, mais j'ai connu l'héroïque période des maillots de bain tricotés qui te lestaient en moins de deux temps, trois mouvements de brasse. La voilà bien l'ingénuité de l'enfant qui refusait de voir la trop évidente intention de ses parents : le noyer !
Et maintenant, s'il te plaît, dis-moi : où on va papa ?