J'vous dis pas tout !
Il y a ceux qui laissent leurs commentaires sur mon blog et une paire d'irréductibles, en possession de mon adresse personnelle, qui continuent à préférer la confidentialité de leurs propos. Faut que je leur répète qu'ils pourraient se parer ici-même d'un pseudo (j'sais pas, moi : Sioux tragique, Corbeau lugubre, Quelle colique anonyme !... ça ne manque pas.) et que leur propre adresse demeurerait tout aussi invisible pour les tiers qu'elle l'est dans ma messagerie ordinaire ?
Bon, je critique pas, hein ! (la formule ne vous rappelle personne ?) chacun est libre d'exprimer ses opinions où il veut, mais j'ai déjà au quotidien, dans ma boîte mail, un gros paquet d'indésirables. Alors, ce n'est pas pour dire... Tu vois, Machine, t'aurais pu venir jusqu'ici dénoncer ma "phallocratie souterraine" (sic !), ce qui est un comble quand je te prouve séance tenante que je suis prêt à débusquer le moindre indice de misogynie déplacée, et ce jusque dans les métaphores :
Pétasse !