Pas plus de raison de s'éterniser sur Rubens... Tu as pu le voir : peindre un oiseau, ce n'était pas son fort (un oiseau entravé par un fil, qui plus est ; quelle horreur !).
Ce que j'aimerais, c'est te montrer les oiseaux que photographie Pascale Ménétrier Delalandre.
Plusieurs d'entre vous connaissent et suivent son travail de patience, de passion et de beauté depuis longtemps. D'autres, qui viennent me lire plus ou moins régulièrement, pas encore.
...Quoi, encore là ! Tu ne vas quand même pas attendre que je me fâche ? 😉
Autant vous le dire sans ambages, depuis le temps que ça dure, j'en ai plus qu'assez de présenter mes voeux de bonne année sur ce blog.
Alors, advienne que pourra ! Je traverse la rue sans regarder... et juré ! je délègue l'affaire au premier petit dégourdi serviable que je découvre quand je rouvre les yeux sur le trottoir d'en face.
Dites donc, les gens, j'ai l'impression que j'ai eu la main heureuse...
Un trottoir, imagine ! J'aurais aussi bien pu tomber sur une prostipéripatétipute. Et c'est que ce n'est pas facile à prononcer le nom de ces engins-là ! Merci qui ?
Une dernière papillote Révillon Noir Majeur/praliné, éclats de meringues, chocolat noir.
Cette précision parce qu'il faut que vous vous le mettiez une fois pour toutes dans la tête : quand, comme moi, vous vous apprêtez à écrire une page de l'Histoire contemporaine (et la trêve des confiseurs 2021 en est une), chaque détail compte.
Tandis que les immuables douceurs de notre tradition judéo-chrétienne gourmande finissent de fondre harmonieusement sur ma langue, je relis pensivement le court texte dont la seule présence suffirait à me rappeler l'origine de ce qui, pour des générations d'enfants élevés au sein - sinon généreux, du moins orthodoxe - des Primats des Gaules (l'image n'est-elle pas un peu trop hardie ?), constitue le plus noëlesque des emblèmes.
Mais, avant d'aborder le texte lui-même, remontons un moment dans le passé pour celles et ceux aux oreilles de qui ne serait parvenue, à ce jour, que la bien banale légende de la non moins banale bêtise de Cambrai...
Voyez maintenant qu'il n'était pas superflu d'éclairer le présent à la lumière du passé.
Le texte (sans que j'y apporte le moindre commentaire, trêve des confiseurs oblige) :
Quand tu lances la flèche de la vérité, trempe toujours la pointe dans du miel.
Proverbe arabe
Réflexion silencieuse faisant, m'est venue la nostalgie des blagounettes qui accompagnaient les premières papillotes connues dans ma prime jeunesse. Courtes, bon enfant. A quoi pourrais-je les comparer aujourd'hui, dans notre petit environnement numérique ? Tiens...
Je n'ai pas voulu vous gâcher la dinde de Noël en mettant prématurément le sujet sur la table familiale, mais je crois qu'il nous est loisible d'en parler maintenant posément : que pensez-vous de l'entrée au Petit Robert du pronom iel, cette année ?
Je n'ai pas encore observé de conséquences sérieuses, mais qui peut prédire ce qu'elles seront au prochain Noël ?
N'allez pas croire de mes derniers propos que j'accorde moins de place aux copines, tous sont aisément transposables. Et, si certaines ont une préférence pour l'eau plate, qu'elles se rassurent : les vins tranquilles, c'est bien aussi.
On ne va pas se mentir : Noël, c'était mieux du vivant de Tino Rossi (1769-1821)...
[Non ! Pardonnez-moi, ça c'était l'autre Corse.]
Donc, Noël était tellement mieux, disais-je, du vivant de Tino Rossi (1907-1983). Presque tous les souvenirs de nos glorieux morts pour la France en témoignent encore aujourd'hui, ainsi que ceux de leurs plus authentiques descendants. Alors, quelle pré-catastrophe climatique avons-nous connue à l'insu de notre pleine connaissance pour qu'après la mort du rossignol ajaccien j'aie pu commettre cet énigmatique dessin dont j'ai oublié la décennie ?
Il serait plus raisonnable que je cesse de me poser des questions. J'ai l'esprit ainsi fait qu'une étoile a tôt fait d'entraîner le souvenir d'une autre. Et sait-on jamais où tout cela peut mener ?
Promis, ce sera le dernier détour que je vous ferai faire avant les courses...
Jamais vu un 24 décembre pareil. Jamais. De tout l'après-midi, ça a pas arrêté. D'abord... ... il était peut-être trois heures-trois heures et quart... D'abord... le taxi parisien. Il a frei...
Petits veinards ! On fait plus facilement ses courses de Noël en ligne aujourd'hui... L'inconvénient, c'est que le risque de vomir sur son clavier s'est accru.
Le Tire bouchon le Général... De Gaulle Ouvrez vos bouteilles grâce à la force du grand Charles. Apres le porte avion; l'avenue et l'aéroport voici donc le tire-bouchon. Fabriqué en France : ...