Le livre très attendu de l'ami Helmut Krackenberger...
Très attendu, il l'aura été d'autant plus que l'ensemble des difficultés qu'a occasionnées pour chacun de nous le covid ont grandement contribué à en compliquer l'élaboration à toutes ses étapes. Le résultat me paraît être à hauteur de l'attente... Une approche poétique réussie d'un lieu exceptionnel, aux nombreux trésors méconnus, dont la préservation dépend de l'attention que nous saurons lui porter.
J'ai eu le plaisir d'en suivre l'évolution et les enrichissements au fil des mois, je suis enchanté - au moment où l'imprimeur procède encore aux derniers ajustements de couleurs - de ce qu'Helmut en ouvre la maquette à la curiosité de tous.
Vous aurez sans doute découvert au terme de votre promenade un bon de souscription que vous pourrez télécharger et compléter si vous le souhaitez. Ce serait une marque de sympathie que de faire connaître ce lien en le partageant avec vos amis et connaissances, si vous avez aimé.
Je viens de vous entrouvrir la porte de mon administration chez OB. Ravi de vous faire partager leur sourire que vous avez mérité plus que moi, vous qui désespériez de pouvoir à nouveau commenter sur ce blog.
Ah ! autre chose...
Ces braves gens m'invitent depuis de nombreuses semaines maintenant à franchir le pas de la sécurisation https, ce que je ne fais pas en raison du trop grand nombre d'articles anciens dont il me faudrait modifier une partie du contenu - c'est du moins ce que j'ai cru comprendre...
Si le bandeau nous met d'entrée de jeu dans l'ambiance...
Zora se tut jusqu'à son dernier soupir, où elle jeta un tendre et ultime regard à son époux et murmura : "Tu es une merde."
La quatrième de couverture devrait achever de vous convaincre...
Loin dans les collines perdues de Dalmatie, dans un hameau à l’abandon, vivent Jozo Aspic et ses quatre fils. Leur petite communauté aux habitudes sanitaires et sociales contestables n’admet ni l’État ni les fondements de la civilisation – jusqu’à ce que le fils aîné, Krešimir, en vienne à l’idée saugrenue de se trouver une femme.
La recherche d'une épouse se révèle rapidement beaucoup plus hasardeuse que la lutte quotidienne des Aspic pour le maintien de leur insolite autonomie.
Ce road-movie littéraire qui dépeint les mœurs d'une famille vivant à l'écart du monde est une somme d'humour et de dérision qui, lors de sa publication en Croatie, a rencontré un immense succès populaire. Un roman plein de rebondissements ébouriffants, en cours d'adaptation cinématographique, mais aussi la découverte savoureuse d'un auteur inédit en français.
La relation entre cette fiction déjantée et Pastelle ? vous demandez-vous justement. C'est que derrière la talentueuse granny attendrie se profilait une prescriptrice avisée, ayant saisi en moi l'aïeul indigne apte à répondre aux reflets attrayants qu'elle a su me faire miroiter :
Je l’annonce d’entrée, ce roman est un remède à la morosité ambiante. Il est rare de lire une histoire aussi drôle, où les dialogues savoureux vous font rire, où les situations cocasses s’enchaînent et vous entraînent voyager le sourire aux lèvres. (Jean Grazzini, Librairie Torcatis, Perpignan)
Vous croiserez en vrac dans ce road-movie saugrenu : des litres d’alcool et des sentiments inattendus, une joyeuse attaque terroriste, du politiquement incroyablement incorrect, des jurons savoureux et une bonne grande dose d’irrévérence. Rencontrer cette famille carrément “border”, c’est embrasser la folie d’un Kusturica littéraire. (Librairie La Géosphère, Nantes)
Eh bien voilà, je n'ai pas su résister (j'ai très peu de résistance, en vérité) : au lendemain de ces conseils éclairés, je commandai le roman en question. Le surlendemain, j'en prenais possession. Je l'ai lu hier. Je crois pouvoir vous le recommander aujourd'hui.
En complément, j'ai découvert cet article sur Tomić, qui me le rend encore plus sympathique :
1. Biographie Né à Split en 1970, Ante Tomić est un écrivain et journaliste. Ante Tomić a achevé des études de philosophie et de sociologie à la Faculté de philosophie de Zadar. En tant qu...
Un rébus de dépannage pour les accros de Rotpier, en pause pour ouverture (j'ai souhaité ne pas trop les dépayser : la dernière ligne a été créée avec Rébus-o-Matic)...
Souhaitons-lui de pouvoir reprendre le relais dès dimanche prochain.
La solution a été ajoutée au rébus n°127.
Solution du rébus n°129 :
Ce n'est pas dévoiler un secret... Bon anniversaire à celle qui se reconnaîtra.
non pas pour y cueillir du romarin comme dans la comptine mais pour y découvrir un endroit merveilleusement entretenu par une passionnée qui partage ses merveilles avec les visiteurs de pass...
Alors, tu penses, quand je peux rendre un imbécile heureux !
Je devrais sortir plus souvent, on rencontre des gens dont on devine, aux premiers propos, qu'ils ont devant eux, en dépit de leur âge avancé, une marge de progression conséquente... Non, je ne vous dirai pas qui.
En revanche, cet épisode m'a fait souvenir d'un billet antique qui n'avait pas rencontré d'écho...
Et comme de balèze à malaise il n'y a qu'un pas, glissons-nous une nouvelle fois dans celui de Blaise... Vous verrez que vous n'aurez pas à le regretter, cela finit en chanson.
Je me suis aperçu en revoyant l'image de "Malaise, Blaise", créée en 2017 un peu dans l'urgence, que j'avais oublié de mettre un reflet à Achille Talon. Il le méritait pourtant bien, le bougre.
Oubli corrigé dans le temps gagné à ne pas devoir répondre aux commentaires que beaucoup me disent en privé ne plus pouvoir faire passer sur ce blog (comme sur d'autres blogs de la plateforme).
"Trop de conformisme, à commencer par l'apparence vestimentaire... manque de diversité... manque de courage... absence de force d'âme. Les candidats soit ne savaient pas, soit ne voulaient pas ...