Le costume le gênait. Pourquoi est-ce qu'on lui imposait ça ? Un manteau de Père Noël, une barbiche en nylon, et une capuche fourrée, et puis... et puis quoi encore ? Est-ce qu'il était le P...
C'était le soir du 24 décembre. Un 24 décembre gris et froid dont les guirlandes s'égouttaient lentement, dans le brouillard stagnant et la nuit qui tombait. Je rentrais du bureau, où j'étais...
Jamais vu un 24 décembre pareil. Jamais. De tout l'après-midi, ça a pas arrêté. D'abord... ... il était peut-être trois heures-trois heures et quart... D'abord... le taxi parisien. Il a frei...
J'ai jamais su d'où qu'ils étaient venus ni pourquoi. A mon avis, ils avaient été chassés de quelque part. Je les ai vus arriver à pied avec leurs drôles de vêtements démodés et leurs sac...
Je pourrais te parler du Conte de Noël (Derrière chez Martin) de Marcel Aymé relu récemment, mais je viens de décider de faire une pause. Cela tombe mal.
A Béziers, le con est roi bien que l'usage courant prétende que c'est la bite.
(Pour l'usage, vérifiez à : habitant de Béziers, vous verrez que je n'invente rien)
Donc, à la satisfaction d'une proportion majoritaire de la population biterreine (féminin moins conventionnel de "biterrois", mais quand on voit où conduisent les traditions !...), le con est roi depuis bientôt 4 ans et s'efforce en toutes occasions de montrer son cul au plus haut du mât de cocagne.
Un dernier petit effort pour Noël : peut mieux faire !
Ménard-Béziers : seul le TGV ne lui est pas encore passé dessus.