Comment ai-je pu vous poser des questions si futiles au moment où, dans la dure réalité, certains appellent désespérément leurs mamans ? Retour impératif à l'actualité...
Contrairement à Villon qui stagnait dans le ruisseau j'ai la chance d'habiter en plein Paris une maison qui donne sur un petit jardin. Quelle joie chaque matin d'ouvrir les volets pour entendre tousser les oiseaux. (Pierre Desproges)
Il m'arrive encore souvent de penser à Desproges. Un nanti ? Pas tout à fait. La mort l'a privé d'une retraite qu'il aurait bien méritée et des derniers agréments de la vie parisienne.
Ce qui m'a fait penser à lui, ce matin ? Le dernier post en date de Pascale Ménétrier Delalandre. Je visite peu de blogs en ce moment, il faut croire que j'ai eu la main heureuse.
Une si rare bouffée de bonheur agreste, on ne doit pas la garder pour soi ; ça se partage.
Fin de ma Journée Internationale des Femmes. Sans doute jugera-t-on à juste titre qu'elle aurait dû durer davantage, mais voilà ! Force est maintenant de constater que les commentateurs ont fini hier, bien malgré moi, par s'éloigner considérablement du sérieux de la question. Passons donc aujourd'hui sans regret excessif à tout autre chose.
Je pense que vous l'avez compris, si j'ai assez peu d'estime pour l'espèce humaine dans sa globalité, je suis capable de certaines tendresses pour quelques-uns de ses représentants. D'ailleurs, assez curieusement, plutôt pour quelques-unes.
Comment Sophie en est-elle venue à vouloir me faire connaître ce qui va suivre ? C'était, je crois me souvenir, à la suite du décès de Christian Bobin. J'en ai été profondément touché et je m'étais promis (non sans lui en avoir demandé la permission) d'en donner un écho au profit de celles et ceux qui - comme c'était mon cas - ne connaîtraient pas Roger Dautais...
Je ne peux pas faire mieux qu'insister à mon tour : attardez-vous sur LE CHEMIN DES GRANDS JARDINS de Roger Dautais. Saisi d'entrée par la "Flottaison d'été". Sensibilité et simplicité. Un art humble et fort duquel l'humanité sort grandie.
Est-ce que je porte habituellement assez d'attention, dans ce blog, à celles et ceux qui sont mes plus fanatiques supporters (j'entends par là celles et ceux qui - qu'ils s'y trouvent déjà ou pas - ont maintenant l'âge d'être en EHPAD) ? Sans doute pas.
Alors, CADEAU ! C'est drôle et court (je le précise à l'intention de ceux que rebute un trop long effort de lecture)...
Deux pensionnaires papotent dans la salle des activités ludiques Alors M'ame Germain, ce puzeule, ça avance ? J'vois pas comment un puzeule pourrait avancer ... à part si on le pousse Alors ce ...
Un lecteur, Loïc, m'a fait le cadeau de m'en proposer l'écoute dans ma CARTE BLANCHE POUR 2021, à travers la lecture qu'en fait Estelle Meyer...
Merci à Loïc, mais aussi à tous celles et ceux qui viennent ici partager leurs goûts. Je n'aime rien tant que découvrir des talents dans tous les domaines artistiques. La belle simplicité avec laquelle Estelle Meyer dit les mots de Paul Eluard m'a touché.
J'étais cependant loin d'être au bout de mon enchantement...
Le monde d'après. En voilà, une expression qui fait secrètement frémir. Ne niez pas, bons lecteurs, que lorsque point une crise mondiale, malgré les malheurs, la misère et les morts, malgré ...
D'abord, en septembre 2011, ma réponse à une demande d'autoportrait...
"je me balade à la recherche d'autoportraits de blogueurs pour mettre sur mon site (malgré mes demandes, seulement deux de mes visiteurs ont joué le jeu pour l'instant) mais bon, celui-là, hein, je ne vais pas vous le réclamer, d'autant qu'on ne se connait pas, mais ça, c'est pas grave. tant pis pour l'autoportrait."
Celui-là, qui est à l'origine de la demande, vous le retrouverez aisément ci-dessous en suivant le lien (ma précédente tentative) qui accompagne l'autoportrait que je me suis amusé à faire tout de même. L'amusant ayant consisté à utiliser le propre autoportrait de Sandrin qui s'était représentée étêtée.
Mais, cette Sandrin, comment la retrouver ? vas-tu demander. Oui, je te tutoie...
(Car les autres se sont certainement tous déjà égarés dans mes liens et tu viens de découvrir à l'instant que son blog est aujourd'hui plus vide qu'un grelot.)
Le hasard, mon gars ! (Peut-être, ma garce ?)
Les blogueurs qui s'évanouissent du jour au lendemain de la toile sont légion. Tu m'imagines leur courir après ? Tu rigoles... Tiens, rien que dans l'article ci-après, trois, pas moins.
C'était dimanche, chez nos amis Cafards . Un commentaire posté juste au-dessus du mien ; comme un reflet, le mot géhenne m'a sauté aux yeux. J'ai eu l'envie de découvrir le blog de sa signatai...
Un beau blog, en effet, que celui de Carole dont j'essayais de me rappeler quand j'en avais eu connaissance.
Eh bien (si t'es curieux) tu viens de découvrir par la même occasion que, si elle n'a effectivement plus de blog, Sandrin a conservé un site que j'avais à peu près oublié et que je ne connaissais pas, en tout cas dans cette forme.
La ligne 13 Une BD en cours de réalisation, qui n'attend que le déconfinement pour se continuer. Vous pouvez me suivre sur ma page facebook : Sandrin Touche à tout et complaisamment dilettante ...