Comment il se fait que cette avancée technologique essentielle (vieille sans doute de plus de 40 ans, si je me réfère au graphisme de la signature) n'ait pas été mise plus tôt au service de tous, comme mon goût d'être universellement utile m'y pousse sans cesse pourtant, je me l'explique mal. Une absence parmi d'autres à l'insu de mon plein gré, je vous assure...
Andreas Wannerstedt vous y invite : Asseyez-vous, détendez-vous et découvrez la beauté en mouvement éternel. Rien que ça... Moi, ça me fera des vacances.
Ce n'est pas la première fois (on verra ça plus tard)...
Mais celui-ci, apparemment, je ne suis pas le seul à l'avoir fait.
Certains l'appellent sans doute plus justement cauchemar... J'ai pris la bonne résolution de ne plus m'attarder excessivement aux détails, on ne va pas se disputer entre gens de bonne compagnie pour si peu.
Je vous l'avais laissé espérer. Pourquoi tarder ? Ce sera la meilleure façon de m'exonérer définitivement d'un excès de vœux. Vous aurez tôt fait de constater que les plus empressés sont les plus difficiles à faire aboutir.
Même pas midi, j'ai largement le temps de rattraper ma bévue.
Nanie m'a à juste titre reproché de ne pas avoir pensé aux enfants... Il est bien vrai que nos chers bambins ne sont en général guère conviés à l'apéro.
Ayez la bonté de me pardonner, mes petits anges. Et Merry Christmas !
Parce qu'un peu d'exercice ne fera de mal à personne avant de vous remettre à table demain soir et qu'un léger entraînement ne pourra que vous aider à rebriller comme au bon vieux temps quand il s'agira de passer sur la piste de danse...
Pour remercier aussi Valérie de la touche de légèreté qu'elle a apporté très heureusement à ce billet...
Pas même l'esquisse d'un sablier à couper le beurre. Manqué, de plus, la date d'anniversaire : c'est dire la démotivation du bonhomme. Et si la sagesse était simplement dans le désapprentissage du bavardage ?
Comme dit l'autre, avec un peu de bonne volonté tout le monde peut y arriver.
Mais je ne serai pas toujours là.
Pensez-y...
Alors, c'est simple : celles qui ne m'auront pas remercié publiquement, disons dans les huit jours qui viennent, faut plus qu'elles viennent me faire des risettes par-derrière. J'les connais plus.
Ce n'est pas que je veuille bousculer les retardataires, mais les jours filent vite. J'ai eu des périodes de bonté (d'ailleurs mal payées en retour)...
Terminé. Fini le temps où les dernières pouvaient rêver d'être les premières. En vérité je vous l'affirme : hors délais, point de salut... Voilà, tout est dit. Non, n'insistez pas.
Juste un petit dessin ancien pour remercier Anne de l'ensemble de ses anecdotes qui font la joie de mes vieux jours.
L'exhortation est venue de Rotpier en milieu de semaine dans les commentaires de mon précédent article. Soixante-douze heures, tel est le temps que j'ai jugé raisonnable pour ne pas lui laisser le sentiment qu'il serait aisé de me faire céder à la pression. Encore ne roulerai-je aujourd'hui que pour encourager une autre - dont je ne suis pas sûr qu'il la connaisse - à continuer de le faire. Je ne doute pas qu'elle sera une source d'inspiration, pour lui et pour d'autres.
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