Hier, vendredi 7 février de l'an de grâce 2025, notre ami Sarkö testait devant la caméra de BFMTV son dernier joujou : un bracelet électronique flambant neuf étrenné à son domicile en tout début d'après-midi.
Sachons nous y faire, les images d'Epinal destinées à édifier grands et petits ne font plus recette.
Hors caméra, celui qui, à tout jamais, restera le premier de nos Présidents bien aimés à avoir testé pour nous cette innovation technique (et devenu, du coup, une sorte de mètre-étalon en la matière, ce n'est pas rien !) aurait déclaré : Honnêtement, je vous le dis comme je le pense, je ne suis pas sûr que ma petite sortie médiatisée eût été plus aisée un boulet au pied.
On peut douter du subjonctif.
Quoi qu'il en soit, force est pour nous de voir ici la patience d'un septuagénaire parfaitement intègre enfin récompensée.
Nos plus antiques visiteurs s'en souviennent, les choses n'avaient pas été plus faciles pour lui un boulet au poignet. Contre sa nature, il a su attendre. Et ce n'est qu'un court mauvais moment à passer...
Les premières feuilles sont tombées, mais on est encore très loin du compte.
Le sapeur-pompier de service, Mimi Minimum Barnum, monte cet aprèm sur le tobogan de l'Assemblée nationale pour y prononcer sa déclaration de politique générale : le discours, nous dit-on, ne sera pas suivi d'un vote de confiance. Ce qui laisse, là aussi, à chacun(e) le temps de parier.
Ici même, tout le monde ne l'a pas encore fait. A l'exemple regrettable de mon propre Premier ministre à éclipses, l'indomptable Hopla, que j'invite instamment à sortir de sa coquille.
Nous verrons bien ce qu'il en est. Des exemples pas si lointains peuvent nous inciter à un optimisme relatif...
Le Sang du Peuple millésime 2017 trônait sur la nappe. "Il se laisse boire", avait déjà dit maintes fois l'oncle Charles-Louis-Marie. Il le répéta avant de porter le verre à ses lèvres et ce fut merveille de voir la robe plébéienne s'accorder si harmonieusement à sa carnation patricienne. On en était à la mijotée d'agneau sauce tomate et, jusque là, rien n'avait altéré la joyeuse ambiance familiale.
Et soudain : "Oh, putain !"
Je vous laisse mesurer l'étonnement de la tablée. Un homme qui d'ordinaire suscitait l'amusement admiratif des siens pour son attachement à l'usage d'un imparfait du subjonctif sans faille, et dont la seule extravagance connue avait été de rejoindre Renaissance au début de l'année après toute une vie passée aux côtés des LR et de leurs prédécesseurs patentés.
Ce n'était encore rien. On l'a vu se lever et gueuler : "Manu, maintenant ça suffit... Dégage !"
Puis il est tombé devant tous, en patriote.
On est peu de chose.
...Le 17-08 (fin de matinée).
Parce qu'il s'est passé ces derniers jours une curieuse suite de crashs (3 Rafale, 1 Fouga Magister et 1 ancien ministre, je le rappelle), je ne pouvais pas rester silencieux.
Un dessin pour vous inviter à rechercher dans les commentaires une partie des explications concernant ces drames:
Blériot... (Chaval) - Musée des Beaux-Arts de Bordeaux.
...Le 18-08.
Je viens d'apprendre le décès d'Alain Delon.
Une aubaine cérémonielle de plus pour notre Monsieur Loyal élyséen ? Du calme, Manu ! Celui qui est mort ne t'avait pas attendu...
Une vente aux enchères exceptionnelle de la maison Rouillac aura lieu le 26 mai au château d’Artigny, en Indre-et-Loire.
En vente, notamment : le"scooter de l'Élysée"devenu célèbre en 2014, l'authentique scooter"utilisé par le Président François Hollande pour rejoindre, incognito, l'actrice Julie Gayet, rue du Cirque, au jour de l'an 2014".
Une mise à prix à 10.000 euros.
Ce deux-roues Piaggio gris, trois roues, 125 cm³, 34.000 kilomètres, a déjà plusieurs fois changé de mains depuis qu'il a été vendu par l'Elysée dès 2015. Les derniers propriétaires sont Patrick et Manola, un couple qui l'avait acheté pour fêter ses noces d'or, et à qui l'ancien élu de Corrèze avait fait une dédicace sur l'un de ses ouvrages :"À Patrick et Manola qui ont eu la chance d'enfourcher mon scooter, Pour mieux partager leur bonheur".
"Le scooter de François Hollande entre en janvier 2014 dans la catégorie des véhicules de légende, tant il raconte aux Françaises et aux Français l'histoire d'un homme comme les autres et d'une nation tiraillée entre sa volonté de puissance et le constat de son déclassement" précisent encore les commissaires-priseurs de la maison Rouillac.
(Source FRANCE BLEU)
Ce que l'on sait moins c'est que les jours de turlute notre ami Françounet se parait d'un casque, modèle 1849, de la garde républicaine pour rendre visite à sa belle. Et si pour une fois, cher(e)s ami(e)s, vous vous rendiez vous aussi utiles à la nation ? Je vous propose de donner une valeur de mise à prix à ce casque dont nous pourrions offrir le résultat de la vente à la veuve du soldat inconnu.
Je tenais à saluer Well, dont c'est ici la toute première intervention, pour sa contribution doublement à propos. Peut-être aurais-je dû vous le présenter avant même d'exposer cette peu ordinaire centurie de Christophe de Nostredame, mais je ne doute aucunement que beaucoup sauront goûter encore davantage cet hommage postérieur :
Un partage supplémentaire, ce lundi 28, pour saluer la visite d’un nouveau qui devrait pouvoir a minima s’attirer la sympathie des Bretons (fussent-ils d’adoption).
De plus, c’est lui qui vous offre les verres d’accueil...
Bon, on ne va pas faire davantage de promo à Henriette. Mais, une fois n'est pas coutume, un peu de réclame aux commentaires (j'avoue que ce sont certains d'entre eux qui m'encouragent encore à poursuivre la tenue de ce blog)...
Photonanie (03/05/2023 09:43) : Ben c'est son droit de dire que son fillon est international non ?
Géhèm (03/05/2023 17:50) : Son droit le plus strict... C'est par ailleurs un oiseau de haut vol, tu as dû remarquer qu'il a deux ailes au cul.
Photonanie (03/05/2023 23:15) : Tout à fait, comme monsieur GLLOQ.
Géhèm (04/05/2023 06:11) : Avoue que ça aurait de la gueule sur une carte de visite :
FILLON-GLLOQ, Représentant en rillettes du Mans...
Mais ça y est, maintenant que j'ai appris le nom de notre nouvelle Première ministre, je ne vous ferai pas davantage attendre pour vous faire connaître mon choix de vote aux prochaines législatives. Pas comme certain qui a pris la détestable habitude de nous faire poireauter jusqu'à la dernière minute. Passé Borne, y a plus de limites...
Il y a plus de deux ans maintenant que ma chère Cécile m'a adressé cet Hermès, inventeur des poids et mesures, gardien des routes et des carrefours, dieu des voyageurs, des commerçants, des voleurs et des orateurs, sans que ce soit tout, bref peu s'en faut... dieu à presque tout faire. Je l'avais laissé de côté, car que voulez-vous que je fisse d'un dieu impropre à tout faire quand nous avions déjà un Jupiter apte à tout ?
Hermès - Cécile Falchéro.
Aujourd'hui que l'on nous promet un Jupiter changé, il me paraît naturel de sortir de la naphtaline celui dont la fonction initialement prépondérante était de faire entendre aux hommes le message des dieux... Car je viens d'écouter un Macronounet inchangé s'amuser de l'impatience du petit peuple à connaître qui serait "directement chargé de la planification écologique", ce qui n'est pas rien, alors qu'il dit à demi-mot en avoir déjà décidé.
On t'écoute nous le révéler à sa place, mon grand... Tatatan !
Depuis que j'ai entendu Marine Le Pen proclamer hier matin sur France Inter que "tous les Français sont extrêmement intelligents", je suis persuadé que ça ne vous vexera pas : la susceptibilité n'est pas de mise chez les gens réellement intelligents, hein, les cons !
Mais dites au fait, les lumières ! vous avez appris la dernière nouvelle ?
Nicolas Sarközy annonce son soutien à Valérie Pécresse.
Il lui est arrivé d'avoir un peu d'avance, on peut bien lui pardonner un léger retard.
"Tous", vraiment ? Il y en a quand même, je me demande...
Certains vous expliqueront qu'il s'agit d'un tableau de Jacques Dumont, dit Le Romain, peint en l'an de grâce 1731 : Madame Mercier entourée de sa famille. N'en croyez rien. Le temps passe certes vite, mais il ne s'agit que d'une petite sauterie costumée entre afficionados de la citoyenne Le Pen et du sieur Macron auxquels l'heureux dénouement du premier tour donne l'occasion de se retrouver, comme si de rien n'était, cinq ans après.