Caca joyeux, dimanche heureux.

Prenez votre temps, je ne vous attends pas.

Voyez vous-même, il est déjà largement plus de 18 heures et je ne m'en formalise pas.

Pour être honnête, sans le petit mot laissé par le copinaute Rotpier en conclusion de mon billet précédent pour m'indiquer qu'il commençait à trouver le temps long, j'aurais pu ne vous proposer ce bonheur simple que dimanche prochain. Ou peut-être jamais.

J'ai pris connaissance de son inquiétude tardivement. C'est tardivement que je vous propose de découvrir à ma suite ses deux rébus dominicaux traditionnels, de la même façon que l'on amène sa grille de mots croisés, et maintenant sa tablette, aux toilettes.

Tout le monde n'a pas l'esprit rébus, ai-je parfois entendu. Qu'à cela ne tienne, voici leurs solutions :

- Comme on dit chez Flunch ou dans les clandés, le soir, c'est moules à volonté ! Ce qui donne, bien sûr, la frite aux amateurs et pas qu'aux Belges !

- Dans les basses-cours, les hautes, ou ailleurs, quand elles sentent le blé, les poules accourent. Et ce, même si le coq est moche et chante faux.

Dimanche heureux, je vous disais. Vous pouvez me croire.