Ne nous égarons pas dans les détails décoratifs : je suis un solitaire de bonne compagnie. Faut pas trop me courir sur le haricot, c'est tout !
Si elle passe par ici, elle sait pourquoi...
Président, ce n'est pas une sinécure. Cela ne laisse guère de temps pour écrire. Ministre, passe encore. Regardez Bruno Le Maire, ça lui laisse même le temps de rêver :
Elle me tournait le dos ; elle se jetait sur le lit ; elle me montrait le renflement brun de son anus. "Tu viens Oskar ? Je suis dilatée comme jamais."
Je vais donc mettre entre parenthèses ma prometteuse aventure présidentielle, entamée il y a un peu moins d'une semaine, pour me donner une chance de finir le chef-d'oeuvre intemporel que plus personne n'attend.
Je n'aurai plus d'excuses si je n'y parviens pas. D'autant que j'ai remis la main sur l'indispensable vadémécum que se doit de lire tout auteur ambitieux. Merci, ma Coline.
Avez-vous été attentifs à la note 48 ? Les lecteurs de Bruno Le Maire savent que son héroïne brièvement évoquée plus haut se prénomme Julia. Une coïncidence, direz-vous. Pas pour moi : il me faut définitivement admettre que ce garçon dispose d'encore plus de temps qu'on ne croit. Il me faut reconnaître aussi qu'il sait tirer profit de ses lectures.
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Le 02-11
47/ J'ai changé mon sujet. Je ne peux pas en dire plus.
Je me demande si, en ayant moins de contraintes protocolaires, je ne vais pas avoir trop tendance à me disperser. Ce qui est sûr, c'est que je viens de découvrir Yuval Robichek (il était temps !) : lui se passe de mots et ce qu'il fait est plein d'inventivité et de finesse...
Ne manquez pas de parcourir toutes ses rubriques. Je vous rembourse ce que vous ne me devez pas si ça ne vous éclaire pas la journée.
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Voilà, ça y est, je taquine enfin la muse...
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Le 05-11
Ah, mes ami(e)s, tout va si vite ! Mais ne me pleurez pas. Grâce à Hopla, croyez-moi, je suis comblé : je n'avais jamais espéré passer à la postérité de mon vivant. C'est ce qu'il m'offre...