Ne nous égarons pas dans les détails décoratifs : je suis un solitaire de bonne compagnie. Faut pas trop me courir sur le haricot, c'est tout !
C'est vrai, cela ne s'est déclaré qu'hier, mais ne croyez pas que ces choses-là arrivent sur un coup de baguette magique, par hasard : c'est le résultat d'une longue maturation. J'y pensais bien avant de commencer à me raser.
L'enfance d'un chef.
Pourtant, sans doute n'y aurais-je même plus fait allusion sans la question de ma récente ministre du logement à mon encore plus frais Premier ministre : Mais où s'arrêtera notre président ?
QUI PEUT LE SAVOIR MAINTENANT ?
EDITION SPECIALE DU SOIR :
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Le 28-10, fin P.M.
LE MONDE S'EMBALLE
Et la précipitation, chacun devrait le savoir, n'est jamais bonne.
Sans doute aussi ai-je trop étourdiment délégué.
Je résume les faits dont vous pourrez vérifier la longue évolution dans les commentaires du présent billet et du précédent :
Mon Premier ministre rêvait légitimement d'une rosette et j'avais chargé ma ministre du Logement et de la Décoration de sa remise. Rien n'urgeait, et puis les procédures, tout ça... Mais croyez-vous que des amateurs enthousiastes s'embarrassent de décrets ? Je n'ai même pas été prévenu et, placé devant le fait accompli, je suis comme vous stupéfait.