Ne nous égarons pas dans les détails décoratifs : je suis un solitaire de bonne compagnie. Faut pas trop me courir sur le haricot, c'est tout !
Par Géhèm
Il y a maintenant quelques semaines, pas loin de deux mois à vrai dire (le temps passe vite), je découvrais dans une exposition collective de bonne tenue le travail d'YZO, au travers de 8 sculptures appartenant à sa série "exploitation". Sculptures métalliques d'une étonnante pureté, et légèreté : un réel coup de coeur artistique comme je n'en avais pas éprouvé depuis bien longtemps.
Je m'étais fait un plaisir de la rencontrer dans les jours suivants, un imprévu m'en a empêché.
Qu'à cela ne tienne.
Un excellent site (dont sont extraites les deux photos) éclaire richement les divers aspects de sa création.
Les axes de sa démarche.
Son cheminement.
Qu'aurais-je pu ajouter en l'interrogeant ? Probablement rien. Jugez par vous-mêmes :
Tout le monde n'aura sans doute pas eu le temps ou la patience (au moins lors d'une première visite) d'en explorer l'ensemble des aspects. Il serait d'autant plus dommage de passer à côté de ces quelques vidéos qui me paraissent dire tant d'elle :
...Et, pour cette dernière (créée dans le cadre de son projet 1% artistique réalisé à Saint-Cirgues-en-Montagne)... un peu de moi aussi.
¤
Rien à voir sinon l'homophonie (et le talent sous une autre forme) : Jean-Claude IZZO, dont je n'avais lu jusqu'alors que le dernier livre Le soleil des mourants paru en 1999.
Fin de mois dernier, j'ai lu d'une traite sa trilogie Fabio Montale (Total Khéops, Chourmo, Solea) rassemblée en un volume chez folio policier. Lacune comblée.
Peut-être prendrai-je le temps de rencontrer YZO, l'automne venu. Peut-être me contenterai-je d'aller aux champignons.
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