Une fausse bonne résolution pour les aimables lectrices de ce blog ?
Sans doute, comme en toutes choses, convient-il de trouver un juste équilibre. Ce que nous montre dans le domaine de la peinture, en tout cas, l'évolution à travers les siècles de celles qui ont privilégié des habitudes végétariennes, c'est que les résultats sont pour le moins fluctuants et peuvent susciter des opinions opposées. Je n'en dirai pas davantage.
Observée à partir de la toile de Louise Moillon (La marchande de fruits et légumes [1630]), cette évolution - dont j'ai négligé bien des variantes - montre en revanche sans ambi-guïté qu'un sujet raisonnablement assujetti à un régime carné n'est pas affecté par le temps qui passe.
Je vous laisse vérifier tout à loisir la réalité de cette assertion en vous attardant sur l'aspect du chat.
CQFD. La démonstration se passe de mots.