Dieu merci, tout s'est terminé pour le mieux aux premières heures de la matinée.
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Les plus dévot(e)s d'entre vous auront reconnu l'Assomption (v. 1649-1650) de Nicolas Poussin.
On revient de loin... De très très très loin... Bien avant #MeToo.
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La chèvre de monsieur Seguin... Ô Pôvre ! Soyons sérieux deux secondes : cette histoire de biquette décidée à voir le loup quoi qu'il lui en coûte, personne n'aurait dû douter un seul instant qu'elle puisse se terminer autrement que dans le stupre :
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A part la chaisière de la cathédrale d'Avignon, peut-être, à la date de sa parution...
En tout cas, cela ne pouvait pas échapper à l'oeil du poète.
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Attachons-nous maintenant à redonner au tableau de William Bouguereau sa fraîcheur virginale...
Bacchante lutinant une chèvre (1862).
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L'âge d'or (1863)
William Bouguereau
Pour le barbecue...
Inutile, j'imagine, de vous rappeler que le responsable de la cuisson doit idéalement porter un tablier et des gants de cuisine et s'assurer, bien sûr, de tenir les enfants en bas âge à distance. Mais, dans les conditions d'extrême sécheresse actuelles, le mieux sera que vous le reportiez.
Et, bien sûr, leurs mêmes supporters.
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Certains vous expliqueront qu'il s'agit d'un tableau de Jacques Dumont, dit Le Romain, peint en l'an de grâce 1731 : Madame Mercier entourée de sa famille. N'en croyez rien. Le temps passe certes vite, mais il ne s'agit que d'une petite sauterie costumée entre afficionados de la citoyenne Le Pen et du sieur Macron auxquels l'heureux dénouement du premier tour donne l'occasion de se retrouver, comme si de rien n'était, cinq ans après.
Vous vous demandiez ce qui a changé ?
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Sur l'indication d'Anne Lüscher :
Marie-Madeleine Mercier nourrice de Louis XV, par Odile Caffin-Carcy.
Editions Perrin, collection Les Métiers de Versailles (2006). 224 pages, 19 €.
Le déjeuner dominical est un rituel auquel beaucoup d'entre vous restent plus attachés qu'à la messe, raison de plus pour en faire un moment d'exception...
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* Fiche technique.
Coeur d'amant au vin rouge. (Recette facile)
N'importe quel amant, encore vigoureux, fera l'affaire.
Ingrédients : 1 coeur, 25 g de beurre, 1 grosse cuillère de farine, 20 cl de vin rouge, sel, poivre.
Matériel : Poêle.
Préparation : Couper le coeur en morceaux (comme pour des brochettes) ; faire fondre le beurre dans une poêle et faire dorer les morceaux ; quand les morceaux sont dorés, ajouter une cuillère pleine de farine ; ajouter aussi le vin rouge, saler et poivrer, et mélanger le tout jusqu'à épaississement de la sauce ; laisser à feu doux 10 minutes en mélangeant de temps en temps.
Prix de revient : Très variable (il ne me paraît pas superflu d'en discuter avec votre avocat).
Château Margaux, Premier Grand Cru Classé, 2011.
Attention ! L'abus de Château Margaux peut nuire gravement à votre budget.
Bon appétit.
D'après Bernardino Mei, Ghismunda et le coeur de Guiscardo (vers 1650).
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Il est encore jeune. Il vise déjà la mairie de Marseille. 😂
Dès aujourd'hui, il y est pour trois jours...
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D'après Rubens :
Le débarquement de Marie de Médicis à Marseille.
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Le rosé est frais... Et promis juré ! on a enlevé les pattes. 😉
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N.B. : Qu'est-ce qu'elle croit, Jeannette ? Que je pourrais raisonnablement espérer faire sortir Durdur de sa retraite en me contentant de lui faire miroiter deux paires de saints ?
D'après Jeanne d'Arc - J. Bastien-Lepage (1879).
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J'évoquais une pause dans mon précédent billet, elle sera encore davantage méritée après ce léger effort personnel :
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Et, après avoir rendu à Vinci, rendons à Roselyne...
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Photo Charles Platiau.
Sans doute aurais-je obtenu un franc succès avec une corbeille d'osier emplie de chatons, mais je ne suis pas là pour faire le buzz. Et pas question de tomber dans la facilité.
Certaines réalités s'imposent avec une brutalité à laquelle même cette année ne m'a toujours pas habitué. Charlie rêvait, à l'occasion de mon Joyeux Noël 2020 précédent, de découvrir lors d'une visite à venir une joyeuse portée d'enfants Jésus salvateurs. Je suis navré d'avoir à doucher ses espoirs. Comme on le voit, je reste loin du compte.
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A se demander ce qui va bien pouvoir nous rester pour Noël... Le DVD ?
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Quand on aime, on ne compte pas... Une seconde interprétation de la Nativité de Domenico Ghirlandaio (d'où il ressort qu'il faut encore croire au père Noël).
Pour autant, pas envie d'y perdre plus de temps. Vous retrouverez la première et l'original de référence dans la vidéo Embûches de Noël (article précédent).
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