C'est une des rares certitudes qu'on ait sur la vie de Pieter Brueghel l'Ancien. On doit par ailleurs à quelques lignes de Carel van Mander d'apprendre qu'il était facétieux à ses heures.
Vous conviendrez avec moi que c'est fort peu.
Alors, quand on peut se mettre une nouvelle pièce à conviction sous le nez...
Je les avais presque oubliés ces petits lecteurs exportables de DEEZER :
(Ici : Le temps ne fait rien à l'affaire interprété par Maxime Le Forestier. Celui-là est resté longtemps en tête de ma page d'accueil.)
Je les ai pourtant beaucoup utilisés : élégants, légers, ils étaient faciles à glisser -y compris en nombre- dans tous les articles. Je peux même dire qu'il m'est arrivé à de multiples reprises de construire mes posts autour de l'un d'eux, voire de plusieurs. Ils faisaient partie de ces détails si essentiels qui m'avaient fait préférer OverBlog à d'autres plateformes. Et puis, du jour au lendemain, ça :
Des coquilles vides, partout. Je crois me rappeler que c'est en septembre 2013, au retour d'une pause, que j'ai découvert le massacre. Des articles à mettre à la corbeille, par douzaines. Je n'en ai gardé que deux traces, revisitées, pour m'en amuser.
C'est en parcourant des blogs restés ici en veille avec leur malle d'archives, pour voir quels horizons nouveaux ils avaient pu choisir, que j'ai retrouvé tristement le désastre. Dans une poignée de semaines, tout cela devrait avoir fini de crever. OB aura fait un dernier pas en avant.
Houphouët, ne vois-tu rien venir ?
"Nous étions au bord d'un gouffre, nous avons fait un grand pas en avant."
(Félix Houphouët-Boigny, défunt président ivoirien)
C'est la raison pour laquelle je t'offre ta récompense en cette période de l'Avent (Avent... Avant... tu as saisi la subtilité du jeu de mot ? Tu mérites décidément d'être là !).
Nombreux sont ceux qui n'ont jamais voulu voir les limites de la peinture de Rubens et pourtant les exemples ne manquent pas, qui nous laissent perplexes.
(Un CLIC sur l'image pour l'agrandir.)
On ne soulignera jamais assez en quoi la photographie la dépasse.
Tu fais maintenant partie des privilégiés qui le savent...
Pourtant d'aucuns prétendent qu'il suffit de procéder comme pour les amandes : les plonger trois minutes dans l'eau bouillante, après quoi il n'est plus nécessaire que de les presser entre le pouce et l'index.
C'est gravement méconnaître la diversité des amandes, ainsi que celle des Allemandes.
À titre d'exemple, cette amande en buis que je ne me suis amusé à sculpter que pour me prouver que j'étais capable, à l'occasion, d'avoir moi aussi de la patience. Tu veux peut-être essayer de l'émonder ?
Question de goût certes (et on sait ce qu'il en est...) c'est, pour ma part, toujours avec leur peau que j'ai préféré consommer les Allemandes.