C'est une petite chose fragile qu'un blog. J'en fréquente fort peu (sans pouvoir même y apporter autant d'assiduité que j'aimerais), mais j'en ai vu plus d'un sombrer, du jour au lendemain, corps et âme.
Avec le blogonaute, sauf exceptionnelle véritable proximité amicale, tu ne sais pas, quand il laisse son blog en jachère, si c'est lassitude de sa part, panne d'idées, recrudescence de son activité sexuelle... ou pourquoi pas pire encore, va savoir ! Ainsi me dis-je, en ma Ford intérieure de couleur noire, que ma dédicace d'aujourd'hui à Délia arrive peut-être trop tard et qu'elle vient en somme lui faire une révérence posthume.
Voilà qui, dans la foulée, me conduit à retaquiner l'AZERTY pour saluer de son vivant un chronopote, dont je relève qu'il a depuis peu repris du poil de la bête, et comment !
...Holà ! Hopla ! Ne va tout de même pas y laisser ta santé. Les mouches offrent quantité d'autres ressources.